Gestion naturaliste​

Gestion naturaliste des espaces insulaires

Les touristes, les navigateurs, les kayakistes qui passent devant une île ou en font le tour la voient comme cet ornement du paysage qui parle à leur imaginaire.

Les services de l’administration, les scientifiques l’observent en fonction de leurs critères qui sont moins éloignés qu’ils ne veulent le croire des critères des propriétaires : la société évolue pour chacun dans la même époque. La préoccupation environnementale fait partie aujourd’hui du monde de tous, pas seulement des pouvoirs publics, des mouvements politiques ou des associations de protection de l’environnement.

Deux exemples de gestion naturaliste en milieu insulaire

Autres exemples de gestion naturaliste

L’entretien de chaque île est effectué selon des principes de gestion qui vont d’actions mesurées comme l’entretien d’une lande selon les modes traditionnels, à la fauche des prairies, tardive ou précoce dans la saison, au gyrobroyage des zones ouvertes ou à la plantation d’arbres qui créent des mosaïques de milieux. Les projets innovants de certains propriétaires comme la plantation de vignes peuvent être associés à un courant municipal dans un esprit de partenariat (Île d’Arz/Govihan). D’autres ont des cultures potagères ou fruitières à plus ou moins grande échelle.